Avec cette fois le choix de la simplification des outils, j’ai déployé une « écriture -espace ». Une ligne qui se déroule, animée par le mouvement d’une écriture qui donne une impression de continuité, comme un tissage.
Le fil est là d’ailleurs, matériellement ou bien je l’ai dessiné.
Vraies et fausses coutures se mêlent aux graphies.
Les vides organisent le tout et définissent comme des territoires qui évoquent une sorte de Cartographie des mouvements humains, voire de personnages en transit, de migrants.
Le monde dans lequel nous vivons actuellement est dominé par des frontières des murs,des oppositions.
Migrer,c’est toute l’histoire de l’humanité.J’aime que les frontières restent poreuses.